Ce spectacle mené par 8 chanteuses raconte avec humour une révolution féministe manquée, fomentée par des déesses, mais surtout les chemins qui les ont poussées à agir avec extrémisme.
Peterbut
Véritable dystopie, ce spectacle raconte avec beaucoup d’humour une révolution féministe manquée, fomentée par des déesses, mais surtout les chemins qui les ont poussées à agir avec extrémisme.
Il s'est passé de bien vilaines choses, en France, entre 2017 et 2020, avec l'arrivée au pouvoir du Parti du Cercle, émanation d'une secte féministe qui a voulu compenser quelques millénaires de domination masculine.
De ces trois ans il ne reste toutefois rien : l'amnésie collective a été décidée par un referendum. En 2062, la France entend le récit de ces trois ans d’histoire perdue. Si l’apocalypse maya de 2012 n’a pas eu lieu, c’est parce que les déesses, contre l’avis de la Sibylle, s’y sont opposées. Puis, au détour d’une phrase malencontreuse de cette dernière, qui parle de la « fin des hommes », une déesse avance : la fin des hommes d’accord, mais ne serait-ce pas le début des femmes ? Tout commence comme cela. Les déesses, cloitrées sur le mont Olympe et coupées du monde des humains depuis qu’elles ne sont plus vénérées, se renseignent, rattrapent des siècles et des siècles d’oppression et de féminisme. Elles en déduisent qu’il faut renverser le patriarcat.
Distribution : Caroline ADOUMBOU, Camille ALLÉRAT, Maud BESSARD-MORANDAS, Morgane BOUDEVILLE, Rosemay DAUVIN-MAGNAN, Isabelle DEPROIT, Célia HEULLE, Sophie POULAIN.
Direction artistique : Laëtitia Toulouse